In’Om : la solution de pilotage intelligent d’ouvrage

GR BIM – 2023 l

Créé en 2017, GR BIM est connu pour sa partie Services avec notamment l’AMO BIM, le BIM Management ainsi qu’en tant qu’organisme de formation certifié Qualiopi.

Jean-Baptiste Coutanceau, PDG, a souhaité démocratiser les infinies possibilités d’usages du BIM en créant un Pôle Recherche et Développement. L’équipe R&D a ainsi développé un outil qui s’adresse aussi bien aux professionnels dont les métiers sont liés au BIM qu’à des usagers néophytes comme les Facility Manager, les Services Généraux, les gestionnaires de patrimoine et les usagers de l’ouvrage. C’est In’oM.

Aujourd’hui, l’empreinte environnementale et l’impact carbone des bâtiments doivent diminuer. La RE2020 et le décret tertiaire sont là pour réglementer et apporter un cadre à cette évolution indispensable. C’est dans cette démarche de Transition Énergétique et Environnementale (TEE), que In’Om s’inscrit totalement, et ce pour tous les ouvrages.

On parle bien d’ouvrage, et non de bâtiment. En effet, In’Om est une solution qui peut s’appliquer certes à des immeubles, mais pas que. Son utilisation est aussi compatible avec des parcs forestiers, des serres, des centres commerciaux, des hôtels/restaurants, des aires de parking, du vignoble… Il suffit qu’il y ait une maquette BIM de l’ouvrage, même sans donnée, importée au format IFC dans In’Om.

Les usages sont infinis via un support BIM standardisé.

Le nombre d’utilisateurs étant illimité, cela permet ainsi au gestionnaire principal de donner les accès dont chacun a besoin suivant sa catégorie. L’usager, l’intervenant extérieur, le client ne voient que la partie de l’interface dont ils ont besoin. C’est à partir d’un tableau de bord qu’ils accèdent aux fonctionnalités de In’Om. On y retrouve l’ensemble des ouvrages avec les maquettes BIM associées. In’Om est accessible à tous. Il est multi-utilisateur.

Pour un usage technique, l’ingénieur BIM ou le modeleur BIM peut extraire les données BIM, les modifier et les réintégrer directement via In’Om. La donnée alphanumérique est mise à jour en temps réel, via Excel ou directement dans la maquette. Celle-ci peut alors être exportée au format ifc, ou de nouvelles maquettes être réimportées pour de nouveaux cas d’usage, tout en garantissant la traçabilité BIM. Toutes les modifications effectuées sont suivies grâce à l’historisation de la donnée.

Les données sont donc fiabilisées en temps réel.

La visualisation 3D de l’IFC peut être sans texture et texturée. L’intérêt de cette dernière version est de savoir exactement où se situe quel type de revêtement pour faciliter les interventions (Ex. Plâtre et pierres sur un même mur). La diversité des modes de navigation permet de parcourir la maquette de façon intuitive et sans contrainte, un vrai plus avec le mode “téléportation”. En effet, depuis n’importe quel endroit de la maquette et en exactement trois clics, on est téléporté exactement où l’on souhaite. Le mode X-Ray va, grâce à son jeu de transparence sélective et de couleurs, permettre de visualiser ce qui est caché (Ex. Réseaux), mais peut aussi afficher des objets suivant une caractéristique spécifique.

On comprend mieux visuellement son bâtiment.

L’arborescence de In’Om permet, en quelques clics, la consultation de rapports générés selon ses besoins, et ce grâce aux données récupérées au sein de l’outil, ou via des IOT. Cela peut se traduire par des représentations graphiques qui vont permettre de réaliser des analyses ou de lancer des correctifs. De même, on va pouvoir établir des contrôles qualité à l’aide de l’historisation de la maquette.

Tous ces points permettent d’optimiser l’impact énergétique et environnemental.

In’Om permet d’avoir un contrôle et un suivi de l’ouvrage (GMAO BIM). L’ensemble des contrats est géré depuis l’interface, permettant ainsi d’avoir une maintenance préventive grâce à des alertes pour des échéances à venir. Pour autant, un module de gestion d’incidents est intégré, le ticketing. Tout est géré via In’Om, que ce soit un possible usager qui fait la déclaration, l’entreprise qui va intervenir, ou le gestionnaire. Le suivi se fait d’un bout à l’autre avec la gestion des devis, la planification et le suivi d’intervention, via la timeline. Bien entendu cette partie est complétée par un module Etat des lieux qui s’applique pour les baux locatifs, comme pour la location de tiers lieux.

Grâce au pilotage, cela va améliorer la gestion d’incidents et réduire les coûts.

In’Om, avec toutes ses fonctionnalités, garantit une interopérabilité avec tous les outils, grâce aux faits que c’est une solution Open BIM, que la donnée soit centralisée et que les API puissent être connectées. Le BIM se démocratise et disparait au profit de ses usages et devient accessible à tous.

Dans cette volonté de proposer une solution stable, tous les développements ont été faits en interne (même le viewer 3D) et continuent à l’être en poussant encore plus loin la démarche innovante. Prochainement une nouvelle version inclura les BCF en export et réimporte, la maintenance prédictive en plus de la préventive, et à plus long terme il sera possible de calculer l’empreinte carbone de l’ouvrage sur son cycle de vie.

Alors peut-on résumer In’Om en une GED, une GEM, une GMAO, voire une GTB ? Absolument pas, c’est une solution tout-en-un qui va beaucoup plus loin car non seulement son champ d’application concerne tous les ouvrages, mais il peut aussi être utilisé comme une application marketing ou un outil dans une démarche de TEE. Cela a donc un fort impact aujourd’hui où les entreprises sont dans une démarche RSE. En allant encore plus loin, In’Om ne pourrait-il pas s’inscrire dans les critères ESG ?